{Darkest Fear} d'Harlan Coben - Peur noire (en français)
Quatrième de couverture (en anglais) :
Life isn't going well for Myron Bolitar. His business is struggling, and his father, recently recovered from a heart attack, is facing his own mortality and forcing Myron to face it too. Then comes another surprise. Emily Downing, Myron's college sweetheart, reappears in his life with devastating news: her thirteen year old son Jeremy is gravely ill and can be saved only by a bone marrow transplant from a donor who has vanished without trace. Before Myron can absorb this revelation, Emily hits him with an even bigger shocker: Jeremy is Myron's son, conceived the night before Emily's wedding to another man. Staggered by the news, Myron plunges into a search for the missing donor. But for Myron, finding the only person who can save the boy's life means cracking open a mystery as dark as it is heartbreaking a mystery that involves a broken family, a brutal kidnapping spree, and a cat and mouse game between an ambitious reporter and the FBI.
Quatrième de couverture (en français) :
Alors que sa vie professionnelle comme agent sportif semble piétiner,
et que son père se remet non sans mal d'un infarctus, Myron Bolitar est
brutalement précipité dans une affaire dont il se serait bien passé.
Son ex-petite amie, Emily Downing, qui l'avait plaqué pour aller
épouser son pire ennemi, resurgit dans sa vie en réclamant son aide :
elle a un fils de 13 ans atteint de l'anémie de Fanconi. Seule une
greffe de moelle osseuse pourrait désormais le sauver. Sauf que le
donneur compatible inscrit au fichier est introuvable. Pire, il semble
vouloir se cacher. De qui ? Pour quelle raison ?
Flanqué de sa
garde rapprochée, Myron Bolitar plonge au cœur d'une histoire familiale
sombre et vénéneuse, qui l'implique de manière très… personnelle.
Mon avis :
J'ai déjà lu pas mal de romans d'Harlan Coben, mais j'avais peur en entamant celui-ci en VO de ne pas retrouver ce qui m'y plaisait ou de ne pas tout comprendre.
A mon grand soulagement, ce ne fût pas le cas. J'ai retrouvé avec plaisir Myron Bolitar, Win et tous les autres, et j'ai surtout retrouvé leur traits de caractères, le fait que Myron ne puisse s'empêcher de "provoquer" avec un humour plus ou moins perçu ses interlocuteurs, la maitrise de soi et la violence de Win...
Dans ce roman, Myron, qui a décidé de se consacrer exclusivement à sa carrière d'agent sportif sans plus enquêter, est obligé (pour des raisons sentimentales) de déroger à la règle et de continuer ce qui lui réussit si bien : l'investigation.
S'en suit une histoire assez riche en rebondissements, où quasi chaque chapitre nous apporte une surprise, je n'en dirai pas plus pour ne rien révéler de l'histoire.
Conclusion :
Je suis rarement déçue par Harlan Coben, ces romans se lisent toujours facilement et avec plaisir, c'était à nouveau le cas avec celui-ci!
Lecture en cours :
L'homme qu'on prenait pour un autre, Joël Egloff